Dans la forêt...

Au fin fond de la forêt enchantée du Weldenvarden, le silence était presque troublant. Le vent ne soufflait pas pour faire craquer les branches, aucune feuille morte d'automne ne crissait sous les pas légers de Caërena. Les rayons du soleil ne pénétraient pas sous la cime des hauts arbres qui couvraient de pénombre le sol, par leurs immenses ombres noires.
Dans ce cocon ouaté de silence et de fraîcheur, la seule vie non végétale qui marquait la forêt de sa présence était celle de l'elfe qui, sans but, avançait dans les bois, à pas lents. Loin de l'agitation des villes, le calme qui régnait ici réconfortait Caë.

Caërena se laissa tomber au pied d'un arbre, et appuya son dos contre l'écorce rugueuse du tronc. Le silence, la solitude, rien à faire. Juste fermer les yeux et se laisser glisser dans une délicieuse torpeur, laisser vagabonder ses pensées sans penser à rien en particulier. Pas d'Urgal, pas d'Ombre, pas de Galbatorix pour troubler le calme apaisant de quelques instants de repos bien mérités. Pas besoin de garder la main sur le pommeau de l'épée, prête à la tirer au moindre signe de danger. Parce qu'ici, elle ne risquait rien. Du moins, pas à sa connaissance. Et savoir cela l'apaisait.
Levant les yeux vers les cimes, Caë regarda le ciel bleu dont elle pouvait apercevoir un petit peu par les trous entre les feuilles vertes qui ondulaient paisiblement sous le souffle de vent qui venait de se mettre à souffler. A nouveau, les feuilles s'immobilisèrent et le vent frais cessa. La chaleur était presque étouffante, en cette chaude journée d'été, entre les buissons, les troncs et les feuilles.
Au loin, une cascade se faisait entendre. Caë écoutait l'eau couler. De temps en temps, un léger sifflement d'oiseau retentissait, mais bien éloigné, donc fortement atténué.
Il aurait fallu que Caërena se lève. Qu'elle reprenne sa marche, mais sur le chemin du retour, cette fois. Il aurait fallu qu'elle rentre. On l'attendait sans doute, bien loin d'ici, à la capitale. Mais elle n'avait pas envie d'y aller. Pour une fois, tout ce qu'elle désirait, c'était un peu de calme, un peu de détente. Mais elle s'aperçut qu'au milieu de tout cela, qu'elle avait pour le moment, une chose cependant lui manquait : la compagnie. La solitude se mit à lui peser, alors que l'elfe l'avait tant recherchée. Elle éprouvait désormais le besoin de parler à quelqu'un. De sentir quelqu'un vivre près d'elle.
Résignée, elle se releva, pivota sur elle-même, tournant le dos à la cascade qui glougloutait plusieurs centaines de mètres plus loin, tournant le dos aux piaillements des oiseaux également. Le soleil devait se coucher, et la forêt s'assombrit encore plus. Caërena devrait passer la nuit dans les bois, mais cela ne la dérangeait pas. Ce ne serait qu'une nuit de plus. En raison des feuilles qui empêchaient la lumière de pénétrer dans le sous-bois, la nuit, avancer était totalement impossible. Même le jour, la forêt manquait de clarté. En elfe habituée, Caë savait que, du coucher au lever du soleil, il fallait rester à l'endroit où on était, sans bouger, attendre que la nuit passe et s'en aille.
Elle se mit donc en route, profitant des dernières heures de lumière. Mais elle n'avait fait que quelques mètres lorsque, quelque part sur sa droite, des branches craquèrent. Caërena bondit et, dégainant le simple poignard passé à sa ceinture, elle se tourna vers l'endroit d'où avait jailli le bruit.

[hj: fais pas gaffe aux fautes XD]

Eragon partit tôt de l'endroit où il avait dormit. Il s'était auto-lancé un sort de façon a ce que dès que les premières lueurs du soleil se firent voir, il se reveillerait automatiquement. IL se reveilla donc de bon matin, les lueurs matinales perçant avec difficulté l'épais feuillage des arbres multicentenaire. Une brise d'air fraîche passait cepedant, slalomant entre les feuilles et arbres, qui se sont entremêlés un peu n'importe comment au fils des années. Ce souffle de vie pure passa sur Eragon. Il se sentit revigoré, comme s'il venait de se baigner dans une eau froide. Le vent lui avait un peu ébouriffé les cheuveux, il secoua tête de façon a les remettre en place, malgrès son sommeil agité, il n'avait pas les cheveux en bataille, il était parfait, comme toujours...

Après ce petit reveil en douceur, Eragon s'étira longuement et bailla en ouvrant fort la bouche. Sa machoire craqua ce qui le fit sourire légèrement. A l'aide de sa magie, il perça en trou dans le sol et en puisa l'eau qui y somnolait. Il se mit a genou, et but de longue gorgée d'eau, afin de stoper la soif qui lui étraignait sa gorge. Sa soif soulagée et sa gorge aussi, par la même occasion, il se releva d'un geste gracieux. Il prit son sac de provision et le plaça sur dos, il mit sa ceinture et la serra bien a sa taille puis y incrusta le fourreau de son épée avec celle ci engainée dans l'endroit voulut, et pour finit il mit son arc sur son dos.

Une fois après avoir bien vérifié de n'avoir rien oublier, il se mit en route. Cependant il n'avait aucun but. Il laissa sa conscience sa balader, a travers tous les êtres vivants de la forêt, les abres, insectes, oiseaux, mammifères et autres... sa conscience se heurta a quelque chose de plus costaud que tous les animaux de cette forêt. Il crut d'abors que c'était qu'un elfe qui se baladait comme lui. Mais il reconaissait cette sensation, il conaissait cette personne mais il n'était pas sur de qui était cette personne. Il décida que comme il ne faisait rien, il irait rejoindre cette personne. Il se mit en marche, en essayant de localiser la personne.


Eragon marcha longtemps, il crut qu'il avait eut une hallucination le matin. Pourtant il sentait la douce odeur de cette personne dont il était sur de conaître. Il pressa le pas pour la rattraper. Il marcha sur branche qui fit "crac" qui résonna dans le silence et le calme de la forêt. Il poussa un arbustre qui le génait sur sa route, et vit une femme, avec des traits magnifiques et un poignard a la main, il reconnut sans une once d'hésitation:

-" Caërena!!! Qui aurait cru que je t'aurais trouvé ici même! Je ne m'attendais aucunement a te trouver ici! Que fais tu ici?

Eragon ne la laissa répondre, et l'enlaca dans ses bras musculeux. Il sentait la douceur de sa peau a travers ses habits. Puis il la relache afin qu'elle reprenne ses esprits.

[H.J : Non, non, je ne fais PLUS attention aux fautes xD
Tu décris Eragon comme un top model là oO Au fait : c'est bien, tu viens d'inventer le réveil xDDD]



Caërena ne s'attendait pas à ce que ce soit Eragon qui surgisse devant elle. Surprise, elle n'eut que le temps de rengainer son poignard, pendant qu'il parlait, avant qu'il ne la prenne dans ses bras.

-Caërena !!! Qui aurait cru que je t'aurais trouvée ici même ! Je ne m'attendais aucunement à te trouver ici ! Que fais-tu ici ?

Eragon la relâcha, et Caërena lui fit un sourire joyeux.

-Je ne m'attendais pas non plus à te voir ici ! Et je te retourne ta question avant d'y répondre moi-même : des affaires familiales m'obligeaient à me rendre à Ellesméra. Et maintenant, je suis censée repasser par la capitale avant d'aller à Ceris d'ici demain ou après-demain, mais je n'en ai aucune envie...

L'elfe poussa un soupir et, machinalement, commenca à enrouler une mèche de ses longs cheveux autour de son doigt.

-Pour te dire la vérité, la reine se prépare à envoyer une partie de son armée aider les Vardens. Je suis chargée de me rendre à Ceris pour rassembler les soldats qui s'y trouvent. [H.J : Nous n'avons pas de contexte précis, donc on se fiche de savoir si l'armée elfique a déjà été envoyée à la guerre contre Galba ou pas, comme c'est le cas dans Brisingr.]

Elle se retint de préciser pourquoi exactement elle était à Ellesméra, et espéra simplement qu'Eragon ne lui poserait pas la question. Ca, c'était quelque chose qu'elle n'avait aucune envie de lui raconter.
Elle se laissa tomber par terre dans la mousse qui tapissais le sous-bois de la forêt. Levant les yeux vers Eragon, elle ajouta :

-Assieds-toi et raconte-moi ce que toi, tu fais là. De toute facon, je m'apprêtais à passer la nuit dans la forêt, alors j'ai jusqu'à l'aube pour écouter ce que tu as à me raconter !

Elle s'enthousiasmait de la présence du jeune homme, qui lui apportait ce dont elle avait précisément besoin, à savoir la compagnie de quelqu'un auquel elle tenait pour rendre les heures à venir encore mieux qu'elle ne l'avait escompté. Allier la beauté des lieux à la compagnie d'Eragon, c'était mieux que ce qu'elle aurait pu imaginer.
Cessant de jouer avec ses cheveux, ce qu'elle faisait très souvent, Caë suivit des yeux un petit oiseau qui volait quelques mètres plus haut, et s'assit dans une position plus confortable. En regardant Eragon avec un sourire, elle se dit que, oui, finalement, les heures qui lui restaient à passer dans la forêt seraient sans doute non seulement amusantes, mais agréables.

-En tout cas, tu ne peux pas imaginer à quel point je suis heureuse que tu sois là, avec moi ! Je me sentais seule, et toi, tu surgis, comme ca ! Mais raconte-moi tout, je veux tout savoir : pourquoi tu es là, depuis quand, avec qui, jusqu'à quand, où tu étais avant... Ca, et tout ce que tu as à me raconter !

Eragon regarda Caërena la bouche grande ouverte, elle débitait un telle flux de questions qu'Eragon n'était plus sur de tout ce qu'elle avait demandé. Mais il avait compris en gros qu'elle lui retournait la question, a savoir de ce qu'il faisait ici. Il ne se souvenait plus que Caërena était au service de l'armée des elfes, apparement elle a un grade assez fort pour que la reine lui confit de telles missions. Eragon repassa en mémoire ses moments passés avec Caërena mais il ne s'en souvenait pas. Il se décida finalement a lui répondre. Il s'assit de façon confortable au côté de Caërena. Il la frôlait tendrement sur sa peau nue de ses bras.

-" Alors, je suis ici pour affaire, j'ai une importante mission de la part de mon maître! Je dois me relaxer a tout prix. Je suis trop stressé avec les magouilles de galbatorix, alors il m'a viré de mon poste, m'a dit que je pouvais aller où je voulais tant que je ne revenais pas avant au moins une semaine, et que je n'allais pas voir galbatorix. Comme si j'irais voir ce vieux crapaud répugnant qui est avide de pouvoir qu'il n'aura jamais. Donc pour me relaxer j'ai décidé de venir au Du Weldenvarden, j'adore cette forêt luxuriante. Elle est appaisante et très belle je trouve. Et puis comme par hasard je tombe sur toi! Avec toi ça ne sera plus vraiment une relaxation mais bon ..."

Eragon fit une grimace de taquinerie pour pas qu'elle le prenne mal

-"Mais non je plaisante, je suis heureux de t'avoir rencontré sur ma route. Et comme tu vas passer la nuit ici, on va même dormir ensemble! Comme au bon vieux temps"

Eragon caressa le bras de Caërena puis remonta jusqu'à son visage :

-" Tu es toujours aussi magnifique..."

Puis Eragon s'étala un peu plus, afin de prendre une véritable position de réconfort. Il n'avait plus le point dans le dos qu'il avait auparavent. Il posa même sa tête sur l'épaule de Caërena, marque d'une grande affection. Il n'avait ressentit de si fort sentiment pour quelqu'un, il l'aimait vraiment...

L'elfe écouta avec attention Eragon parler, lui raconter que son maître lui avait confié une mission importante, à savoir : dormir. Elle l'écouta également, avec amusement, insulter Galbatorix de vieux crapaud répugnant, en trouvant que cette expression lui allait comme un gant. Elle sourit lorsque le jeune dragonnier affirma qu'avec elle ''ce ne serait plus vraiment une relaxation'', puis lorsque qu'il ajouta qu'il plaisantait. Quand il mentionna ''le bon vieux temps'', elle se prit à un instant de nostalgie.
Eragon lui caressa le bras, et remonta jusqu'à son visage.

-Tu es toujours aussi magnifique... dit-il, et Caë se sentit rougir sous le compliment.

Il s'étala de manière à se trouver dans la position la plus confortable possible, et posa sa tête contre l'épaule de Caërena. Elle le regarda dans les yeux, et avait l'impression que ce simple regard hurlait l'amour qu'elle ressentait pour Eragon.

-Maintenant que je suis à nouveau avec toi, je ne pourrai pas me contenter de passer quelques heures à tes côtés, dit-elle simplement. Viens avec moi à Ellesméra, puis nous irons ensemble à Ceris. Je veux rester avec toi, et cela me ferait plaisir que tu le fasses. Puisque tu as une semaine, profitons-en !

Rougissant à nouveau, elle détourna brièvement le regard, puis, à nouveau, fixa Eragon droit dans les yeux, hésitant à poursuivre.

-Je t'aime, Eragon. Et, sans doute que tu vas trouver bête que je te le dise ainsi, mais je souffre de notre constante séparation. Cette phrase sonne bizarre, et on se croirait dans une histoire d'amour un peu bête, mais je n'ai pas trouvé une autre facon de te le dire. Parce que c'est vrai. Nous sommes si peu souvent ensemble, et moi, je... Enfin, j'aimerais être plus souvent avec toi.

Sans doute qu'il savait déjà qu'elle était véritablement amoureuse, mais elle ne le lui avait dit de cette facon. Et elle mettait son coeur à nu en lui avouant son amour. Elle voulait juste lui prouver que c'était vrai.
Elle se sentait mal à l'aise, peut-être seulement parce que ce n'était pas des mots qu'elle avait l'habitude de dire tous les jours. Mais elle espérait qu'Eragon accepterai sa proposition et passerait quelques jours avec elle avant de retourner auprès de son maître.

[libre a toi de le faire si tu veux faire intervenir les méchants
hj: j'ai vraiment pas d'inspi XD]

Eragon fut surpris avec laquelle Caërena s'avoua a lui. C'était une sorte de brutalité. Le dire comme si c'était rien pourtant, c'était un mot plein d'amour. Il fut réjouit et sourit de cette déclaration, ça lui fit du baume au coeur, cette relaxation commençait très bien. D'abors une retrouvaille inatendue, puis cette déclaration. Eragon ne put s'empecher de sourire.

Eragon s'allongea encore un peu plus, il était a présent carrement allongé sur le sol dur et froid. Il posa sa tete sur les jambes de Caërena. Il ferma ses yeux et lui dis:

-" Moi aussi je t'aime Caërena, vraiment plus que tout, j'irais au bout du monde avec toi (le discours de tout homme XD); je ferais tout pour ne pas qu'on l'on soit séparé encore une fois de plus!"

Eragon s'endormit profondement avant meme de savoir si Caërena lui avait répondu ou non. Il devait être très fatigué, ça lui arrivait rarement ce genre de chose.

Au beau milieu de la nuit, Eragon entendit un grondement pas loin de lui. Il se reveilla en sursaut, cherchant autour de lui ce qu'il pouvait y avoir, il se redressa afin de voir un peu plus loin que dans la position allongé. Il posa sa main sur Zar'roc, prêt a dégainer et s'écria:

-" S'il y a quelqu'un ici ou dans les environ qu'il se montre maintenant!"

I

[Encore moins d'inspi que moi, dis donc xD Ben oui, c drôle les méchants oO]

Eragon sourit, et Caërena resta silencieuse. Puis le garcon s'allongea un peu plus, posa sa tête sur les jambes de la jeune elfe et ferma les yeux.

-Moi aussi je t'aime, Caërena, vraiment plus que tout, j'irais jusqu'au bout du monde avec toi ; je ferais tout pour que l'on ne soit pas séparés encore une fois de plus !

Alors qu'elle s'apprêtait à répondre, elle s'apercut qu'il venait de s'endormir, et sourit. Elle lui caressa les cheveux, puis appuya sa tête contre l'arbre derrière elle, et sombra à son tour dans le sommeil réparateur de la nuit douce qui s'annoncait.

Au milieu de la nuit, alors que le ciel était devenu noir d'encre depuis longtemps et que les ténèbres s'étaient emparées de la forêt, Caërena fut tirée du sommeil. Il y eut d'abord comme un grondement, et elle entrouvrit les paupières, fatiguée, se demandant s'il y avait de l'orage. Puis elle sentit Eragon se redresser, et le dragonnier s'écria :

-S'il y a quelqu'un ici ou dans les environs, qu'il se montre maintenant !

Elle était cette fois parfaitement réveillée. Tous sens en alerte, elle dégaina silencieusement son poignard, à défaut de porter une autre arme : elle avait laissé son épée à Ellesméra.
Elle jeta un regard à Eragon. Tous deux immobiles, ils attendaient une quelconque manifestation. Comme rien ne se passait, bien que restant prêt à affronter un éventuel danger, l'elfe murmura :

-C'est stupide... Qu'est-ce qui pourrait franchir les barrières elfiques pour pénétrer dans la forêt ? Si ce sont des Urgals, ils ne sont pas seuls. Si c'est un Ombre, nous sommes fichus.

Comme pour contredire ses paroles, un bruissement indiqua clairement qu'il y avait vraiment quelque chose, là-bas, à quelques mètres sur la droite, dans le noir total où Caë avait du mal à discerner la silhouette d'Eragon. Mais quoi ? Qu'est-ce qui était là ? Un simple oiseau, un écureuil, un elfe en promenade, ce qui était une idée vraiment stupide par son improbabilité, ou alors... Un Urgal, un Ombre, un soldat quelconque de Galbatorix, ayant parvenu à pénétrer dans la forêt ?
L'inquiétude s'emparait peu à peu de Caërena. Obligée de rester parfaitement immobile, elle commencait également à avoir une crampe. S'il y avait quelqu'un ou quelque chose, par pitié, que ''cela'' surgisse vite !

Eragon n'écoutant que son courage se releva d'un bon. Il s'empara de Zar'roc la leva bien haut au dessus de loin avant de fendre l'air avec dans un léger sifflement. Eragon s'avança d'un pas. Des dizaines de fleches s'écrasa à côté de loin, des flèches noires d'encre, ruisselantes de poison. Eragon en eut des frissons jusqu'au bout de ses orteils.

-"Caërena, il y a plusieur urgal, fais très attention a toi! Il semblerais qu'ils soient plus d'une vingtaine!!"

Eragon ruisselait de sueur, il ne savait plus quoi faire, s'il attaquait de face, le risque de se faire contrer était énorme. Il se rabattit sur sa magie, afin de le protéger des attaques sur lui ainsi que Caërena. Il devait un expert avec ce sort tant il l'utilisait. Puis il cria avant de se ruer sur le sous bois:

-" Caërena, je t'ai protégé avec des sorts, mais je ne te garantis pas tellement son efficacité. Viens m'aider, je pense pas qu'on aura trop de mal a se defaire d'une troupe d'urgal imprudente."

Eragon courra dans le sous bois a la recherche d'ennemis, mais il ne vit personne. Il cria a plusieurs reprises afin de faire peur mais pas un seul mouvement. Etait-ce un effet de son imagination car il dormait peu de temps avant? ...